Bienvenue à toutes et tous qui vous retrouvez sur ces pages. Je suis Maxime Gayraud, praticien en Thérapies Esséniennes et Egyptiennes et Explorateur du Monde Invisible.
J’ai grandi et longtemps évolué dans un environnement très cartésien, où tout s’explique et se prouve de manière scientifique, où tout a un sens, une origine et une direction. Enfin, disons plutôt dans un environnement où une chose inexplicable scientifiquement n’existe tout simplement pas. Et pour tout avouer, cela m’a convenu. Un temps. Et puis, un jour d’été, alors que je travaillais dans une entreprise d’agriculture biologique dans un village du nord des Bouches-du-Rhône, après avoir déjà « tout plaqué » pour la énième fois, mon patron m’annonce qu’il va faire venir un sourcier car il a besoin d’eau pour telle et telle parcelles. Un sourcier. Tiens, voilà un truc qui peut être marrant ! Donc je me débrouille plusieurs jours plus tard pour suivre ce vieux monsieur alors qu’il arpente lesdites parcelles, une baguette métallique dans chaque main.

Et voici que les baguettes se croisent. S’ouvrent. Qu’il tape du pied. Compte. Se parle à lui-même à voix basse… et plante des piquets en donnant des profondeurs, des débits, des « remontées d’eau. »
Et je commence à poser des questions. Qu’est-ce que c’est comme métal ? Est-ce que c’est lui qui les fait bouger ? A la troisième question, il lève les yeux vers moi, les plante dans les miens et me dit :
-Tonton, arrête de poser des questions, tiens, et il me tend les baguettes, essaye. Tu les tiens comme ça. Et tu marches.
-Ah ouais ? Je marche ?
-Tu marches.
Alors j’ai marché. Et bien entendu, les baguettes se sont croisées. Je me souviens même les avoir lâchées sous le coup de la surprise. Et c’était tout : « Voilà, tu as trouvé de l’eau. Pour connaître la profondeur tu fais comme ça, pour connaître le débit tu fais comme ça, la remontée d’eau c’est comme ça et le sens du courant c’est comme ça. Vous avez plus besoin de moi, maintenant y a Tonton. »
Et ceci fut ma première expérience avec l’invisible, la première chose que j’étais capable de faire sans pour autant pouvoir l’expliquer.
Quelques années plus tard, après avoir fait mes preuves en tant que sourcier et marqué avec précision quelques forages, d’abord dans le village, puis les villages voisins, je reçois un message d’un vieux copain de la fac : « Est-ce que tu aurais envie d’apprendre à couper le feu ? »
Devine ! Je l’appelle et effectivement, il se propose de m’enseigner à couper le feu, comme on dit. « Par contre, ça ne se transmet qu’un seul jour par an. Et c’est demain. »
J’envoie donc un message à mon patron : « Demain, je ne serai pas au travail. » Et en plus de sourcier, je deviens officiellement coupeur de feu. Et à mon grand étonnement, ça fonctionne. Ca fonctionne même très bien ! Et si je commençais à m’expliquer le fonctionnement de la radiesthésie en général et de la recherche d’eau en particulier, passant mon temps libre en recherche sur le sujet, me voilà à nouveau capable de quelque chose que je ne pouvais encore pas m’expliquer ! Mais on va aller jusqu’où, là ? Ca s’arrête où cette histoire d’invisible ?
J’entre alors dans une frénésie de recherche, une soif de connaissance comme je n’en avais pas eu depuis longtemps, et je me mets à étudier tout ce qui me passe entre les mains. A un rythme soutenu. Pendant plusieurs années. La journée je travaille, le soir je coupe le feu, la nuit je lis, le weekend j’expérimente… et je touche à tout. Je touche à tout mais je n’arrive pas à aller au bout d’une discipline. Il y a toujours quelque chose qui me chagrine, quelque chose dans chacune des disciplines avec laquelle je ne suis pas d’accord. Quelque chose qui n’est pas cohérent. Quelque chose qui n’est pas juste. Mais d’un autre côté, dans toutes les disciplines, il y a quelque chose de commun, de fondamental, de primordial même. Quelque chose que chaque discipline s’est approprié, mais pour le transformer suivant ses standards, ses besoins, ses buts…
Alors je me suis mis en quête de la discipline la plus primaire possible. La plus primordiale. La plus pure, quelque part. Dans le sens de moins transformée possible. La plus originelle. Un peu comme si j’avais exploré un arbre gigantesque. Chaque face, puis chaque branche, puis chaque feuille, pour finir par m’apercevoir que ce que je cherchais c’était la sève des racines. La cellule souche. Immaculée.
Et il m’en aura fallu du temps, pour trouver chaussure à mon pied. Et encore plus pour recevoir un enseignement complet. Mais aujourd’hui en tout cas, je suis fier d’avoir enfin trouvé ce que je cherchais. Ce qui m’appelait depuis tout ce temps, c’était les Soins Esséniens. La Tradition Thérapeutique Essénienne et Egyptienne.
Voilà d’où je viens, et par où je suis passé. Où je vais aujourd’hui, c’est avec vous que je vais l’écrire. Avec ceux qui m’en feront la demande.
Formation en Thérapies Esséniennes et Égyptiennes
La formation en Thérapies Esséniennes et Egyptiennes selon la Tradition complète transmise par Marie-Johanne et Daniel Meurois se déroule sur 8 sessions de 4 jours résidentiels par semestre.
Code déontologique du Praticien-thérapeute